L'oeil du musicien, et plus particulièrement celui du pianiste-lecteur, doit aller dans les deux directions, verticale et horizontale, de manière à analyser à la fois ce qui est du domaine de l'harmonie (verticalité) et de la ligne mélodique (horizontalité). Ces deux dimensions de l'écriture polyphonique créent l'espace sonore, comme la perspective en peinture. Présente dans les pièces polyphoniques de Bach ainsi que d'autres compositeurs jusqu'à nos jours, cette particularité, nécessitant une grande qualité d'écoute et d'analyse, sera développée dans ce projet.

Avec les classes de formation musicale d'Agnès Abergel, Marianne Demange,
Stéphane Magnin, Nicolas Mondon, Richard Perrin, Sophie Rigaut et Véronique
Souberbielle.

Avec la classe de piano de Lorène de Ratuld.