Le tango argentin est le lieu idéal d'une mémoire réactivée par le vivant de la danse avec l'autre. C'est à travers son vocabulaire, croisé avec les œuvres installées dans le parcours de l'exposition, que se construira le stage. Les paysages irréels et nostalgiques d'un Mélik Ohanian ou les narrations subtilement décalées de Nathalie Talec serviront entre autres, les inspirations et les rythmicités du tango.
De quoi nourrir un imaginaire singulier et faire rejaillir les éléments d'une mémoire collective.

Le stage se clôturera le dimanche vers 17h par une performance publique.

Il amorcera la Soirée Jeunes Diplômé(e)s du 3 décembre puisque les participants du stage guideront le public du bal Tangoléon