• Que devient le collectif TryËma ?

Le 11, dans le cadre des cinquante ans de l'académie de danse, nous présentons Murmurations, notre travail créé en écho à celui que Lia Rodrigues et ses élèves ont montré aux EMA fin 2013. Le 17, nous danserons notre performance préparée avec le chorégraphe congolais Andréya Ouamba devant le théâtre Jean-Vilar, inspirée de l'envoûtement et l'ensorcellement.

• Comment évolue le collectif ?

Nous sommes maintenant onze danseurs, de dix-sept à trente-deux ans. C'est la première fois, depuis la constitution de l'association, qu'on travaille avec un chorégraphe international. En mai, ce sera avec Kevin Jean en résidence à la Briqueterie. Et puis, il y a toutes les actions pour récupérer des fonds et partir cet été au Brésil revoir Lia et ses danseurs :

- vente de gâteaux les 18 avril, 30 mai à la Briqueterie et 31 aux Fêtes du lilas,

- Crowdfounding

• Pourquoi soutenir ce voyage à Rio ?

Les Brésiliens avec Lia Rodrigues nous ont fait participer ici à leur création. Nous voulons, en retour, danser sur leur territoire Murmurations en les intégrant dans ce projet miroir. C'est important d'exporter les valeurs et la culture vitriote. La chorégraphie est basée sur le street art et les thèmes de résistance, différence, groupe et identité. Après, nous pourrons démarrer d'autres choses : accueillir de nouveaux danseurs, de nouvelles énergies et de nouvelles idées.

Gwénaël le Morzellec